Les mauvaises traductions peuvent être très rigolotes, comme en témoignent l’image choisie pour illustrer cet article ou la légendaire chronique « Hein? » de Protégez-Vous. Or, c’est pas parce qu’on rit que c’est drôle! Vous avez un document (page Web, billet de blogue, publication sur Facebook, communiqué, publicité, etc.) à traduire? Voici ce qu’il ne faut absolument pas faire!
Erreur no 1 : s’improviser traducteur en se croyant parfaitement bilingue
Vous n’êtes pas traducteur de métier et vous voulez traduire vous-même un texte? Soyez conscient de ceci : vous avez beau vous débrouiller dans votre langue seconde, voire vous considérer comme « 100 % bilingue », sachez que vous ne pouvez humainement pas maîtriser les moindres subtilités de 2 idiomes. Par conséquent, faites preuve de modestie — n’ayez crainte, ça n’a jamais tué (étouffé?) personne! 😉
Ainsi, lorsque je traduis un texte de l’anglais vers le français pour un client de Scriptum, je m’efforce de douter constamment de mon travail, et ce, malgré ma connaissance élevée de la langue de Shakespeare. J’hésite sur la signification exacte d’un adjectif, d’un verbe ou d’une expression dans un contexte donné? Dans ce cas, je consulte différentes ressources spécialisées ou — ô privilège suprême! — mes collègues dont l’anglais est la langue maternelle. À ce sujet, j’ai de la veine : grâce à notre bureau à aire ouverte, ils sont littéralement à portée de main!
Erreur no 2 : se fier aux logiciels de traduction pour gagner du temps et économiser de l’argent
Ah! Les logiciels de traduction!… Partez-moi pas là-dessus, car je risque de sortir mes griffes! Gratuits ou payants, dotés d’une bonne réputation ou non, ces outils ont tous le même défaut (et il est majeur) : ce ne sont pas des humains. Eh oui! Seul un être vivant doté d’une conscience peut traduire un texte en tenant compte des figures de style, du contexte socioculturel, de l’ironie, etc.
Et avouons-le : il est facile de constater qu’un texte est une traduction informatisée… ce n’est jamais très élégant! D’ailleurs, il y a quelques années à peine, les médias ont relevé les « limites » d’un nouveau logiciel de traduction utilisé par le gouvernement fédéral.
Comme on dit, ça fait saigner des yeux!
Erreur no 3 : engager un traducteur à l’aveuglette
Ne voulant pas utiliser un logiciel de traduction et reconnaissant vos limites, vous vous tournez naturellement vers la solution idéale, soit confier la tâche à un traducteur en chair et en os. Super! Par contre, je dois une fois de plus vous mettre en garde, car les résultats peuvent varier énormément d’une personne à l’autre…
Vous cherchez un traducteur à qui vous pourriez confier tous vos mandats de traduction? Un conseil : faites passer des tests aux candidats potentiels et demandez ensuite à une personne qualifiée de comparer les versions originales et traduites pour juger de la qualité du travail.
En terminant, retenez que, bien souvent, payer un peu plus cher pour obtenir un résultat irréprochable est un investissement rentable!
Scriptum : votre référence pour du contenu de qualité en français et en anglais
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